Psatirelle

Vues acceptées

  • Psathyrella aquatica J.L. Frank, Coffan et Southworth 2010
  • Psathyrella ammophila (Durieu & Lév.) P.D. Orton 1960
  • Psathyrella asperospora (Cleland) Guzmán, Bandala & Montoya 1991
  • Psathyrella atomatoides (Peck) A. H. Sm. 1972
  • Psathyrella atrolaminata Kits van Wav. 1981
  • Psathyrella badiovestita P. D. Orton 1960
  • Psathyrella bifrons (Berk.) A. H. Sm. 1941
  • Psathyrella bipellis (Quél.) A. H. Sm. 1946
  • Psathyrella borgensis Kits van Wav. 1987
  • Psathyrella candolleana (Fr.) Maire 1913 - Psathyrella Candolle
  • Psathyrella canoceps (Kauffman) A. H. Sm. 1941
  • Psathyrella caput-medusae (Fr.) Konrad & Maubl. 1948
  • Psathyrella cernua (Vahl) M. M. Moser 1984 - Fragile tombant
  • Psathyrella chondroderma (Berk. & Broome) A. H. Sm. 1941
  • Psathyrella clivensis (Berk. & Broome) P. D. Orton 1960
  • Psathyrella conopilus (Fr.) A. Pearson & Dennis 1949 - Fragile conique, ou Psatirella noirâtre
  • Psathyrella coprophila Watling 1971
  • Psathyrella corrugis (Pers.) Konrad & Maubl. 1948 - Fragile ridée
  • Psathyrella cotonea (Quél.) Konrad & Maubl. 1949
  • Psathyrella dennyensis Kits van Wav. 1987
  • Psathyrella dunensis Kits van Wav. 1985
  • Psathyrella echinata (Cleland) Grgur. 1997
  • Psathyrella fatua (Fr.) P. Kumm. 1949 - Insipide fragile
  • Psathyrella fibrillosa (Pers.) Maire 1938 - Psathyrella fibrillosa
  • Psathyrella flexispora T. J. Wallace & P. ​​​​D. Orton 1960
  • Psathyrella friesii Kits van Wav. 1977
  • Psathyrella frustulenta (Fr.) A. H. Sm. 1941
  • Psathyrella fusca (Schumach.) M. M. Moser 1952
  • Psathyrella gordonii (Berk. & Broome) A. Pearson & Dennis 1948 - Psatirella Gordon
  • Psathyrella gossypina (Bull.) A. Pearson & Dennis 1948 - Coton Psathyrella
  • Psathyrella gracilis (Fr.) Quél. Typus 1872 - Psatirella gracieuse, ou Fragile mince
  • Psathyrella hirta Peck 1897
  • Psathyrella incerta (Peck) A. H. Sm. 1972
  • Psathyrella laevissima (Romagn.) Chanteur 1969
  • Psathyrella leucotephra (Berk. & Broome) P. D. Orton 1960
  • Psathyrella longicauda P. Karst. 1891
  • Psathyrella lutensis (Romagn.) M. M. Moser 1955
  • Chanteur Psathyrella macquariensis 1959
  • Psathyrella maculata (C.S. Parker) A.H. Sm. 1972
  • Psathyrella marcescibilis (Britzelm.) Chanteur 1951
  • Psathyrella microrhiza (Lasch) Konrad & Maubl. 1948 - Femme fragile à moitié couverte
  • Psathyrella mucrocystis A. H. Sm. 1972
  • Psathyrella multipedata (Peck) A. H. Sm. 1941 - Psatirella mille-pattes, ou Fragile à plusieurs pattes
  • Psathyrella murcida (Fr.) Kits van Wav. 1985
  • Psathyrella narcotica Kits van Wav. 1971
  • Psathyrella noli-tangere (Fr.) A. Pearson & Dennis 1948
  • Psathyrella ocellata (Romagn.) M. M. Moser 1967
  • Psathyrella olympiana A. H. Sm. 1941
  • Psathyrella panaeoloides (Maire) M. M. Moser 1967
  • Psathyrella pannucioides (J. E. Lange) M. M. Moser 1967
  • Psathyrella pellucidipes (Romagn.) M. M. Moser 1978
  • Psathyrella pennata (Fr.) A. Pearson & Dennis 1948
  • Psathyrella phegophila Romagn. 1985
  • Psathyrella piluliformis (Bull.) P. D. Orton 1969 - Psatirella épris d'eau, ou hydrophile fragile
  • Psathyrella ploddensis Kits van Wav. 1987
  • Psathyrella polycystis (Romagn.) Romagn. 1982
  • Psathyrella populina (Britzelm.) Kits van Wav. 1985
  • Psathyrella pseudobifrons Romagn.
  • Psathyrella pseudocasca (Romagn.) Kits van Wav. 1982 - Psatirella est vieux
  • Psathyrella pseudocorrugis (Romagn.) Bon 1983
  • Psathyrella pseudogordonii Kits van Wav. 1985
  • Psathyrella pseudogracilis (Romagn.) M. M. Moser 1967
  • Psathyrella pygmaea (Bull.) Chanteur 1951 - Psatirella pygmy
  • Psathyrella romseyensis Kits van Wav. 1987
  • Psathyrella rostellata rstadius 1986
  • Psathyrella sacchariolens Enderle 1984
  • Psathyrella sarcocephala (Fr.) Chanteur 1951 - Châtaigne fragile
  • Psathyrella solitaria (P. Karst.) Örstadius & Huhtinen 1996
  • Psathyrella spadicea (Schaeff.) Chanteur 1951 - Psatirella brun-rouge
  • Psathyrella spadiceogrisea (Schaeff.) Maire 1937 - Psatirella brun-gris, ou Fragile marron-gris
  • Psathyrella sphaerocystis P. D. Orton 1964
  • Psathyrella sphagnicola (Maire) J. Favre 1937 - Psathyrella sphagnum
  • Psathyrella spintrigera (Fr.) Konrad & Maubl. 1949 - Bague rayée Psatirella
  • Psathyrella spintrigeroides P. D. Orton 1960
  • Psathyrella stellata (Romagn.) Romagn. 1983
  • Psathyrella stercoraria (Kühner & Joss.) Arnolds 1972
  • Psathyrella tephrophylla (Romagn.) M. M. Moser 1955
  • Psathyrella trepida (Fr.) Gillet 1878
  • Psathyrella typhae (Kalchbr.) A. Pearson & Dennis 1948
  • Psathyrella umbrina Kits van Wav. 1982
  • Psathyrella vinosofulva P. D. Orton 1960
  • Psathyrella vyrnwyensis Kits van Wav. 1987

Description de l'espèce

La calotte a un diamètre de 3 à 6 cm, parfois jusqu'à 9 cm, d'abord en forme de cloche, puis convexe, puis convexe-étirée. Une caractéristique distinctive de l'espèce est d'abord un jaunâtre blanchâtre, plus tard avec des bords violets, un chapeau avec des flocons blancs le long du bord et une patte uniforme blanc-crème. De plus, de fines fibres radiales sont souvent visibles à la surface du capuchon.

La jambe a une hauteur de 3-8 cm, épaisseur de 3 à 7 mm, fibreuse, légèrement élargie près de la base, cassante, blanc-crème avec une faible floraison floconneuse dans la partie supérieure.

Chair : d'abord blanchâtre, puis jaunâtre, chez les jeunes spécimens sans odeur ni goût particuliers, chez les champignons mûrs et vieux - avec une odeur désagréable et un goût amer.

Les plaques sont adhérentes, fréquentes, étroites, d'abord blanchâtres, puis gris-violet, gris-rose, brun sale, gris-brun ou violet foncé.

Variabilité. La couleur de la calotte peut varier de blanc crème à jaunâtre à crème rosâtre chez les juvéniles et jaune-brun et bordé de violet chez les spécimens matures.

Espèces similaires. Psatirella Candolla est similaire en forme et en taille au plyute jaune doré (Pluteus luteovirens), qui se distingue par une calotte jaune doré avec un centre plus foncé.

Comestible sous condition, car seuls les spécimens les plus jeunes peuvent être consommés et au plus tard 2 heures après le prélèvement, dans lesquels la couleur des assiettes est encore claire. Les spécimens matures produisent de l'eau noire et un goût amer.

Psatirella qui aime l'eau

Chapeau (diamètre 3-7 cm) : généralement jaunâtre ou brun clair, avec un léger tubercule et des bords souvent craquelés et irréguliers. Il a la forme d'une cloche, qui finit par devenir presque plate. Sec et lisse au toucher.

Jambe (hauteur 3-11 cm) : légèrement plus légère que le chapeau, creuse, dense et recourbée, avec une floraison farineuse sur toute la longueur. Légèrement velouté au toucher.

Assiettes : beige clair, avec le temps elles deviennent d'un brun riche. Ils adhèrent fermement à la jambe.

Chair : brunâtre, douce, fine, aqueuse. Aucune odeur prononcée, goût très amer.

Doubles : aucun.

Le champignon psatirella qui aime l'eau pousse de fin août à début novembre en Eurasie et Amérique du Nord.

Autres noms : psatirelle hydrophile, fragile hydrophile, psatirelle sphérique, pseudo-mousse aqueuse.

Où le trouver : sur les souches humides et la poussière des feuillus morts.

Manger : en raison de son faible goût, il n'est pratiquement pas consommé.

Application en médecine traditionnelle : sans objet.

Psatirelle Candolla

Chapeau (diamètre 4-10 cm) : crème ou marron clair, très fragile, avec le temps il passe d'une forme hémisphérique ou en cloche à presque étalée. Les jeunes champignons de psatirella Candoll peuvent avoir de petites écailles brunâtres. Les bords sont ondulés, couverts de fissures ; il y a généralement un petit tubercule au centre.

Tige (hauteur 4-11 cm) : très lisse, généralement blanche, parfois brune. Il présente un léger épaississement à la base et une légère pubescence sur toute sa longueur. Comme le chapeau, il est très fragile.

Plaques : fréquentes et étroites, adhèrent étroitement à la tige. Les jeunes champignons sont clairs, les vieux sont brun foncé.

Chair : cassante, blanche. L'odeur subtile ne peut être ressentie que de très près.

Doubles : psatirelle brun-gris (Psathyrella spadiceogrisea), qui a un chapeau plus foncé et ne pousse pas dans ou près des arbres, mais exclusivement dans l'herbe.

Application en médecine traditionnelle : sans objet.

Autres noms : fausse mousse de Candoll, fragile de Candoll.

Le champignon psatirella Candoll pousse de fin mai à mi-octobre dans les pays du continent eurasien et d'Amérique du Nord.

Où le trouver : sur les souches, à côté ou sur les arbres. On ne le trouve presque toujours que dans les forêts de feuillus.

Manger : pratiquement pas consommé, car il nécessite un traitement thermique complexe.

Psathyrella conopilus

Catégorie : non comestible.

Jambe (hauteur 6-22 cm) : creuse, très fragile, blanche.

Chair : fine, brun clair.

Assiettes : grises chez les jeunes champignons, presque noires chez les vieux.

Chapeau (diamètre 3-8 cm) : jaune, marron ou marron, conique. Lisse, avec de fines rainures.

La forme conique habituelle du capuchon avec des rainures caractéristiques pour la satyrelle conique psatirella (Psathyrella conopilus)

Doubles : aucun.

Quand il pousse : de début août à mi-octobre en Europe et en Extrême-Orient.

Psatirella conic pousse sur les ordures ou la sciure de bois dans les parcs, au bord des routes. On le trouve souvent dans les zones urbaines.

Manger : non consommé.

Application en médecine traditionnelle : sans objet.

Autres noms : conique cassante, psatirelle noirâtre.

Morphologie

Les fructifications sont petites ou moyennes, avec une tige centrale.

Le capuchon est mince, hygrophane, d'abord sphérique, en forme de cloche ou de cône, peut s'ouvrir jusqu'à plat, les bords sont souvent rainurés, la couleur va du blanchâtre à diverses nuances de brun.

La pulpe est fine, fragile.

La tige est longue et fine, cassante, fibreuse, avec une cavité, généralement de la même couleur que le chapeau ou de couleur plus claire. La surface peut être feutrée ou écailleuse.

Les plaques sont adhérentes ou lâches, d'abord claires, puis s'assombrissent et deviennent brunes, brun-violet ou noires, généralement avec un bord plus clair.

Les restes du couvre-lit sont perceptibles en surface et surtout le long des bords de la calotte, toile d'araignée ou filmogène, l'anneau et la volve sont généralement absents, il y a rarement un anneau sur la jambe.

Poudre de spores brun foncé, violet ou presque noir.

Les spores sont violet foncé à noires, généralement lisses, avec une germination occasionnelle. Il existe des cheilocystides, leur forme peut être variée : en forme de bouteille, sacculaire, clavée, avec une excroissance coracoïde, parfois incrustée de cristaux.

Psatirelle qui aime l'eau

  1. Ce type de fruit a un chapeau ne dépassant pas 7 cm de diamètre. Il peut souvent être de couleur brun clair ou jaunâtre. Vous pouvez également voir une petite bosse dessus. Le chapeau a dans la plupart des cas une structure fissurée et des bords inégaux.
  2. Le champignon a la forme d'une cloche. Au fur et à mesure que la fructification vieillit, le chapeau devient presque plat. On peut dire qu'il est lisse et sec au toucher. La jambe peut mesurer jusqu'à 11 cm de hauteur et se distingue par une couleur plus claire, en contraste avec le chapeau.La patte est creuse, recourbée et assez dense. Un enrobage farineux est présent sur toute la longueur. Il est velouté au toucher.
  3. Quant aux assiettes, elles sont de couleur beige clair. Après un temps suffisant, ils acquièrent une teinte brune. Les plaques s'adaptent assez étroitement à la jambe. La pulpe est de couleur brune. Il est aqueux, fin et doux. Le goût est amer et l'arôme est pratiquement inexistant. Quant aux espèces similaires, elles sont absentes.
  4. Dans la plupart des cas, ces champignons commencent à porter leurs fruits de la fin de l'été jusqu'au premier gel. Le plus souvent trouvé en Amérique du Nord et en Eurasie. De plus, le champignon en question a plusieurs noms secondaires. On l'appelle souvent fragile et psatirelle hydrophile, psatirelle sphérique, pseudo-mousse aqueuse.

La fructification discutée appartient à des champignons assez intéressants. Un tel spécimen est très rare. De plus, en fonction des conditions météorologiques, il est capable de changer d'apparence. Ce champignon n'est pas recommandé pour la consommation. Il nécessite une manipulation particulière. Il y a aussi de fortes chances que vous puissiez cueillir un double toxique ou simplement non comestible.

Psatirella candolla - description, où il pousse, le poison du champignon

Psatirella appartient à la famille Psatirella et au genre Psatirella. La comestibles des fructifications de cette variété a longtemps été débattue. Certains les considèrent impropres à la consommation, d'autres les classent conditionnellement comme comestibles. La deuxième option suggère qu'en effectuant un traitement thermique long et approfondi, les spécimens puissent être essayés. Cependant, il est déconseillé aux amateurs expérimentés de chasse tranquille de récolter cette variété, afin de ne pas la risquer.

La description

  1. Psatirella Candolla est considérée comme un corps de fructification comestible sous certaines conditions, comme mentionné précédemment. Le plateau peut atteindre 10 cm de diamètre maximum et est peint dans des tons beige ou crème. Il est fragile, change au cours du cycle de vie, devenant non pas rond, mais presque plat. Les jeunes spécimens sont parfois dotés d'une structure écailleuse brune. Les bords de l'apex sont inégaux, ondulés, tous avec des fissures. Il y a une bosse au centre du chapeau.
  2. Les plaques à l'arrière du chapeau sont situées les unes à côté des autres, elles collent à la base et sont pigmentées du brun clair au brun foncé. Tout dépend de l'âge d'un organe de fructification particulier. La jambe pousse jusqu'à 10 cm de hauteur, elle est lissée et blanche. Peut être brunâtre en de rares occasions. Un sceau est visible en bas. La jambe elle-même est faible et se casse souvent.
  3. La partie molle du champignon entier est peinte d'un ton blanchâtre. Un arôme subtil s'en dégage. Ce type de champignon a un jumeau appelé psatirelle brun-gris. Ce jumeau est sombre, poussant à côté d'arbres dans l'herbe. Le champignon Candoll n'est pas utilisé en médecine traditionnelle. Il a d'autres noms, tels que mousse fragile ou fausse.
  4. La croissance commence à la fin du printemps et se poursuit jusqu'à la mi-automne. La nature de la croissance est coloniale, mais les groupes ne sont pas trop volumineux. Il faut chercher des champignons en Amérique du Nord et en Eurasie. Les corps fruitiers poussent directement sur les troncs d'arbres et les souches. On le trouve souvent dans les mélèzes, ainsi que dans les parcs, les cours et les jardins. Le traitement thermique après la récolte est très difficile, de sorte que le champignon n'est pratiquement pas consommé comme aliment.

Cette variété a des caractéristiques distinctives. Le cocon, qui reste après la naissance, se trouve sur le chapeau de la fructification. Si ces restes de la couverture ne sont pas présents, il est alors nécessaire d'étudier le lieu de croissance. Les champignons se déposent sur les zones mortes des arbres, en particulier sur les souches. De plus, il n'y a pas d'anneau sur la base.
Si nous comparons Candoll, par exemple, avec Agrotsibe, alors ce qui suit devrait être dit. Notre variété a une poudre de spores plus foncée. Et cette variété diffère des autres psatirella par sa grande taille et son ton clair.
En outre, la variabilité particulière de Candoll ne doit pas être négligée.Les données externes peuvent changer en fonction des conditions climatiques, des conditions de température le matin et le soir. L'âge et l'habitat ne sont pas négligeables. Mais sachez que vous ne confondrez pas cette espèce avec des champignons comestibles.

Psatirelle qui aime l'eau

  1. Ce type de fruit a un chapeau ne dépassant pas 7 cm de diamètre. Il peut souvent être de couleur brun clair ou jaunâtre. Vous pouvez également voir une petite bosse dessus. Le chapeau a dans la plupart des cas une structure fissurée et des bords inégaux.
  2. Le champignon a la forme d'une cloche. Au fur et à mesure que la fructification vieillit, le chapeau devient presque plat. On peut dire qu'il est lisse et sec au toucher. La jambe peut mesurer jusqu'à 11 cm de hauteur et se distingue par une couleur plus claire, en contraste avec le chapeau. La patte est creuse, recourbée et assez dense. Un enrobage farineux est présent sur toute la longueur. Il est velouté au toucher.

La fructification discutée appartient à des champignons assez intéressants. Un tel spécimen est très rare. De plus, en fonction des conditions météorologiques, il est capable de changer d'apparence. Ce champignon n'est pas recommandé pour la consommation. Il nécessite une manipulation particulière. Il y a aussi de fortes chances que vous puissiez cueillir un double toxique ou simplement non comestible.

Chasse et pêche dans la région de Tver

Chapeau : de 2 à 6 cm de diamètre, hémisphérique chez les jeunes, s'ouvre à moitié avec l'âge ; des restes blancs d'un couvre-lit privé sont souvent visibles sur les bords. La texture est hygrophile, la couleur dépend fortement de l'humidité, variant du brun chocolat (dans des conditions d'humidité suffisante) à la crème sale par temps sec, souvent avec des zones particulières de couleurs différentes. La chair du chapeau est fine, blanchâtre-crème, sans odeur ni goût particulier.

Plaques : fréquentes, adhérentes, claires quand elles sont jeunes, s'assombrissant à brunes à mesure que les spores mûrissent.

Poudre de spores : Brun violet.

Jambe : Hauteur 3-8 cm, épaisseur jusqu'à 0,7 cm, blanchâtre, lisse, creuse. La pulpe est relativement dure, pas cassante.

Répartition : Présent du début de l'été à la mi-automne sur les restes ligneux ; pousse, en règle générale, en grandes colonies, poussant ensemble en grappes.

Espèce similaire : Psatirella globose n'est qu'un des nombreux "petits champignons bruns". Cette espèce diffère des autres représentants du genre Psathyrella par la couleur brune de la calotte (par temps humide) et le "format" de croissance. Une psatirelle gris-brun similaire, bien que plus grande, Psathyrella spadiceogrisea, pousse moins densément. Un champignon du miel d'été, Kuehneromyces mutabilis, a également un chapeau gigrofanny d'une couleur similaire, mais il y a plus de différences que de signes similaires. Enfin, il faut se souvenir d'un autre champignon brun très similaire qui pousse à la fin de l'automne dans les mêmes conditions (et presque sur les mêmes souches) que la psatirelle hémisphérique. Ce champignon se distingue principalement par la couleur de la poudre de spores : brun rouille contre le violet foncé noble de la psatirelle. Nous parlons bien sûr de la galerie bordée, Galerina marginata.

Comestible : Ce champignon n'appartient pas au venimeux, mais il n'est pas inclus dans le comestible.

Notes de l'auteur : Cette psatirelle relativement délicate s'est une fois moquée de moi. A l'aube de ma carrière fulgurante, j'ai trouvé sur une vieille souche d'épicéa toute une colonie de ce qui me semblait terrible Galerina Okaimlennaya (ayant entendu parler d'elle il y a quelques jours dans le livre de Vishnevsky), a immédiatement pris plusieurs photos tout aussi terribles et a commencé à montrer tout le monde, se vantant de bonne chance. Tout irait bien, mais lorsque ce site est apparu (et sur celui-ci, bien sûr, la page de Galerina Okaymlennaya), j'ai reçu une lettre de Marek Snovarsky lui-même, où il a exprimé sous une forme très délicate le doute qu'il s'agisse d'une galerine vénéneuse, non quelques psatirelles égarées. Après une vérification rapide mais très dure, la page "galerie" a été liquidée, et j'ai dû attendre l'été prochain : autrement dit, l'affaire a été renvoyée pour complément d'instruction. À quoi cela a conduit - vous pouvez le deviner par vous-même.

flw-frn.imadeself.com/33/

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